« Il faut toucher à la primitivité du refuge. Et par-delà des situations vécues, il faut découvrir des situations rêvées. » Bachelard, la poétique de l’espace.
C’est ce que semble vouloir entreprendre Adeline Contreras, comme si elle cherchait en créant ses œuvres à remonter au-delà de sa propre mémoire pour explorer notre mémoire collective, archaïque, animale, celle qui pourrait conserver, encore, les souvenirs de ce que nous étions avant d’être un être « civilisé ». (Charlotte Limonne, extrait de sa thèse L’Œuvre-enveloppe)