La densité et la dureté de l’intérieur des sculptures rend fragile la peau extérieure. Le tissu craque. Delphine Caraz recherche ces tensions et les reprise. Corps fragile, corps sur la brèche, qui résiste, cicatrise, jusqu’à ce qu’il trouve sa forme et laisse place à celui qui va suivre. Le fil marque le passage et la transformation qui s’est opérée.