Entre 2012 et 2017, Kiki Smith travaille un cycle de douze tapisseries, influencées par la Tapisserie de l’Apocalypse d’Angers et Le Chant du Monde. La technique traditionnelle est revisitée à travers plusieurs étapes : collages photographiés et retouchés numériquement, avant d’être tissés sur métier Jacquard.
Cinq d’entre-elles ont été exposées à la Monnaie de Paris.